Activités autofinancées et autres revenus
Les revenus provenant d’autres sources (cliniques, frais indirects et de gestion, Fonds de relance, revenus d’intérêts) procureront à l’Université 112,1 M$ pour l’exercice 2025-2026, une baisse de 200 k$ par rapport à l’année dernière. Les activités autofinancées rapporteront quant à elles 3 M$ de plus, soit 63,3 M$.
Services auxiliaires
La contribution attendue des Services auxiliaires s’élèvera à 548 k$, soit 172 k$ de plus que la contribution projetée de 2024-2025. Malgré cette hausse, les revenus peinent à retrouver leur niveau prépandémique en raison de changements d’habitudes de la clientèle qui touchent particulièrement les Services alimentaires.
Fonds de relance
La contribution projetée du Fonds de relance est de 4,9 M$. Elle servira à financer la campagne philanthropique L’heure est brave, les célébrations entourant le 150e anniversaire de l’Université, ainsi que différents projets de développement facultaires. Cette somme permettra également de financer un nouvel investissement annuel de 500 k$, renouvelé pour une période de trois ans, afin d’augmenter l’aide financière offerte sous forme de bourses aux étudiantes et étudiants de cycles supérieurs.
Frais indirects du gouvernement fédéral
Les revenus de frais indirects du gouvernement fédéral ont été établis provisoirement à 20,9 M$, un montant identique à celui du 31 décembre 2024. Les montants exacts seront confirmés par le Conseil de recherches en sciences humaines en juillet 2025. Quant aux revenus de frais indirects provenant des contrats de recherche, une somme de 6,8 M$ est attendue, soit une diminution de 1,2 M$ pour l’exercice 2025-2026.
Revenus d’intérêts
Le rythme de la baisse des taux d’intérêt observée en 2024 devrait ralentir en 2025. Comparativement à la mise à jour budgétaire du 31 décembre 2024, les revenus d’intérêts issus du placement des excédents de trésorerie devraient atteindre 6,4 M$ en 2025-2026, soit une diminution de 2,2 M$ par rapport à 2024-2025.